l'hypnose conversationnelle stratégique
L’hypnose conversationnelle stratégique est différente des types d’hypnose plus classiques qui reposent principalement sur l’hypnothérapeute qui fait des suggestions au client. Elle n’utilise pas la suggestion du praticien comme les types d’hypnose plus traditionnels où le patient est fondamentalement passif ; en revanche, elle utilise son imagination ou/et sa mémoire, en rendant le patient impliqué dans la thérapie par l’hypnose et actif dans la transformation d’événements liés à des souvenirs traumatisants par l’imagination, le détachant ainsi d’émotions extrêmement intenses.
Le patient va donc désensibiliser ses souvenirs traumatiques, figés dans le temps depuis parfois des décennies, et supprimer ainsi les symptômes du traumatisme psychologique (tels que l’engourdissement, l’hypervigilance, l’anxiété, la peur, la douleur) tout en réassociant les événements traumatiques à sa mémoire autobiographique. Avec l’aide de l’hypnothérapeute, le patient peut contrôler ses propres symptômes physiques (qui sont régulés par le système nerveux autonome) ou troubler des images avec les émotions qui y sont associées.
Selon Brassine, ce travail est rendu possible par le fait qu’au niveau inconscient, le cerveau ne fait pas la différence entre la réalité et l’imaginaire. Le cerveau est stupide, mais c’est ainsi qu’il est intelligent.
La psychothérapie des traumatismes réassociatifs (PTR) créée par Brassine est basée sur le concept principal et fondamental des protections dissociatives : lors d’événements traumatiques, des phénomènes hypnotiques se produisent spontanément chez le sujet, dans lesquels des mécanismes de survie, en particulier des protections dissociatives, sont déclenchés, tels que la dépersonnalisation, l’amnésie dissociative, la surprise ou l’anesthésie physique. Brassine appelle ces « défenses » de survie des protections dissociatives qui, une fois mises en place, sont parfois maintenues dans le temps ou sont soudainement réactivées sans réelle nécessité vitale, par des déclencheurs parfois anodins, tels qu’une odeur, un son ou la vue d’un objet.
Dans ce cas, les protections dissociatives se transforment en symptômes ou en véhicules de symptômes.
Dans la RTP, les conversions psychosomatiques sont considérées comme des protections dissociatives : en effet, la souffrance émotionnelle liée au souvenir de l’événement traumatique est telle que la personne peut faire le choix inconscient de se protéger en la transformant en une douleur physique plus facilement gérable. même si elle est potentiellement invalidante, par exemple une maladie de l’appareil digestif, l’eczéma ou la fibromyalgie.
Le traitement des symptômes par PTR consistera à utiliser en état hypnotique les protections dissociatives mises en place lors des événements traumatiques, qui donneront le contrôle au patient alors qu’il les a subis jusqu’alors et les feront paradoxalement disparaître. Grâce au contrôle du patient sur les protections dissociatives utilisées pendant le travail thérapeutique, la désensibilisation des événements traumatiques se fera en toute sécurité, en visant le « zéro douleur » pendant les séances.
Le patient va donc désensibiliser ses souvenirs traumatiques, figés dans le temps depuis parfois des décennies, et supprimer ainsi les symptômes du traumatisme psychologique (tels que l’engourdissement, l’hypervigilance, l’anxiété, la peur, la douleur) tout en réassociant les événements traumatiques à sa mémoire autobiographique. Avec l’aide de l’hypnothérapeute, le patient peut contrôler ses propres symptômes physiques (qui sont régulés par le système nerveux autonome) ou troubler des images avec les émotions qui y sont associées.
Selon Brassine, ce travail est rendu possible par le fait qu’au niveau inconscient, le cerveau ne fait pas la différence entre la réalité et l’imaginaire. Le cerveau est stupide, mais c’est ainsi qu’il est intelligent.
La psychothérapie des traumatismes réassociatifs (PTR) créée par Brassine est basée sur le concept principal et fondamental des protections dissociatives : lors d’événements traumatiques, des phénomènes hypnotiques se produisent spontanément chez le sujet, dans lesquels des mécanismes de survie, en particulier des protections dissociatives, sont déclenchés, tels que la dépersonnalisation, l’amnésie dissociative, la surprise ou l’anesthésie physique. Brassine appelle ces « défenses » de survie des protections dissociatives qui, une fois mises en place, sont parfois maintenues dans le temps ou sont soudainement réactivées sans réelle nécessité vitale, par des déclencheurs parfois anodins, tels qu’une odeur, un son ou la vue d’un objet.
Dans ce cas, les protections dissociatives se transforment en symptômes ou en véhicules de symptômes.
Dans la RTP, les conversions psychosomatiques sont considérées comme des protections dissociatives : en effet, la souffrance émotionnelle liée au souvenir de l’événement traumatique est telle que la personne peut faire le choix inconscient de se protéger en la transformant en une douleur physique plus facilement gérable. même si elle est potentiellement invalidante, par exemple une maladie de l’appareil digestif, l’eczéma ou la fibromyalgie.
Le traitement des symptômes par PTR consistera à utiliser en état hypnotique les protections dissociatives mises en place lors des événements traumatiques, qui donneront le contrôle au patient alors qu’il les a subis jusqu’alors et les feront paradoxalement disparaître. Grâce au contrôle du patient sur les protections dissociatives utilisées pendant le travail thérapeutique, la désensibilisation des événements traumatiques se fera en toute sécurité, en visant le « zéro douleur » pendant les séances.